L’auteur ou l’autrice

         La personne qui écrit un texte (une histoire, un récit, une chanson, un poème…)

 

 L’intention de l’auteur

         Pourquoi l’auteur a-t-il écrit le texte? Nous divertir? Partager des émotions?

Faire passer un message?

 

 Le point de vue de l’auteur

         Le message transmis par la personne qui a écrit le texte

 

 Le texte narratif

Un texte qui présente une histoire.  Cette histoire peut être inspirée de faits réels ou inventée.

 

 Le narrateur ou la narratrice

La personne qui raconte une histoire.  Est-ce un personnage de l’histoire? Est-un narrateur omniscient (qui sait tout et qui voit tout)?  Attention le narrateur n’est PAS nécessairement l’auteur du texte.

 

 Les personnages

         Les personnes présentes dans l’histoire

Le personnage principal est celui qui est le plus important, celui qu’on suit du début à la fin.

 

 Les lieux

         Les divers endroits où se déroule l’histoire.


 

 L’époque

Le moment où se déroule l’histoire peut être précisé à l’aide d’indices : indices de temps, objets, vêtements, bâtiments, moyens de transport, etc. 

 

 Les descriptions

Les détails qui nous permettent d’imaginer les personnages, les lieux, etc.

 

 La narration

         La façon de raconter l’histoire, l’enchainement des actions

 

 L’intrigue / le schéma narratif / la trame narrative

§  Situation initiale (C’est la vie habituelle du personnage principal.)

§  Élément déclencheur (Un événement bouleverse la vie du personnage.)

§  Actions/Péripéties (Les actions, les réactions, les événements)

§  Dénouement (La dernière action qui met fin aux péripéties.)

§  Situation finale (L’histoire se termine, retour à la normale, morale de l’histoire.)

 

 Les dialogues

         Les paroles que les personnages échangent

 

Les monologues

         Les pensées qui passent par la tête des personnages

 

 Le discours direct et le discours indirect

Les discours directs = les paroles rapportées telles quelles (dialogues, monologues) souvent entre guillemets.   L’enfant a dit : « J’ai peur! »

Les discours indirects = les paroles rapportées indirectement.

L’enfant a dit qu’il avait peur.

 

 Les valeurs

Ce qui est bien, ce qui est important pour une personne ou pour un groupe de personnes (exemple : la famille, l’amitié, l’amour, la fidélité, la religion, la liberté)

 

 Les émotions

Réaction, sentiment, trouble, agitation (exemple : peur, amour, colère, jalousie, envie, affection, étonnement, surprise, plaisir, etc.)

 

 L’univers réel et l’univers fictif

L’univers réel présente la réalité, la vraie vie, les situations réelles; l’univers fictif présente des éléments irréels, surnaturels, fantastiques (exemple : des vampires).

 

 Les niveaux de langue

populaire : utilisé entre amis, anglicismes, jurons  (« C’pas vrai, criss! »)

familier : utilisé avec famille, collègues (« C’est pas vrai! »)

standard : utilisé dans un contexte sérieux (« Ce n’est pas vrai! »)

soutenu/recherché : vocabulaire riche, raffiné, utilisé dans les œuvres littéraires (romans, poèmes, etc.)                (« Cela n’est point vrai! »)

        

 Le sens propre et le sens figuré des mots

Sens propre = sens premier d’un mot  (un cochon = animal)

Sens figuré = expression, image (un cochon = homme malpropre)

 

 Les mots évocateurs

         Mots qui provoquent une réaction particulière, une émotion

         (exemples : un orage violent, un mignon petit chaton, un regard glacial)

 Les figures de style

Les expressions ou les mots qui créent des images, qui rendent un discours plus expressif, plus vivant, plus intéressant.                       Exemples

Les figures d’analogie

 la comparaison


 la métaphore

 la personnification (caractéristique humaine)

 

Ce garçon est doux comme un agneau.

Je prends un bain de soleil.

Le vent était en colère et hurlait dans la nuit froide.

Les figures d’insistance

    la répétition

Ses cheveux étaient noirs, sa chemise était noire, ses pantalons étaient noirs.

Les figures d’amplification

    l’hyperbole       (exagération)

    l’accumulation     (énumération)

  

    la gradation     (énumération progressive)

 

Je suis mort de fatigue.

Elle a tout apporté : ses livres, ses cahiers, ses crayons, sa règle.


J’ai attendu une heure, un jour, une semaine.

Les figures d’opposition

    l’antithèse     (deux termes opposés)

    l’ironie         (contraire de ce que l’on pense)

 

Un bruit éclata dans le silence.

Bravo!     (Pour reprocher une bêtise à quelqu’un)

Les figures d’atténuation

   l’euphémisme           (atténuation)


   la litote      (expression affaiblie pour dire plus)

   l’ellipse     (omission de mots non essentiels)

 

Mon père nous a quittés(Il est mort.)

Je ne le déteste pas(Je l’aime.)


Son vélo est bleu, le mien, rouge. (Son vélo est bleu, mon vélo est rouge)


Última modificación: sábado, 22 de agosto de 2020, 13:22